Le livre sur la place au tribunal administratif

Événement
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Le tribunal administratif a une nouvelle fois ouvert sa grande salle d’audience les 9, 10 et 11 septembre aux conférences données à l’occasion du « Livre sur la Place ».

Partenaire de ce salon national de rentrée littéraire depuis 2018, le tribunal a offert cette année encore un cadre privilégié à près de 900 personnes au sein de l’espace XVIII ème de la ville, pour différentes rencontres  avec des écrivains.

Cette année, la manifestation a débuté vendredi 9 septembre, par un colloque qui avait pour thème « les Goncourt et la Lorraine » organisé conjointement par le Livre sur la Place, l’Université de Lorraine et le laboratoire du centre national de la recherche scientifique consacré à la langue française.  

Sans toujours que le droit cède totalement la place à la littérature, l’évènement s’est poursuivi, samedi 10 et dimanche 11 septembre, par de nombreuses conférences. Se sont ainsi succédés à la barre :

-          Pierre Ménard, venu dresser le portrait des « Infréquentables frères Goncourt », tandis que de leur côté, Robert Kopp et Alain Claude Sulzer « Au plus près des frères Goncourt », complétaient ce portrait,

-          Gilbert Thiel, qui s’est attaché à revisiter des « Affaires classées », de célèbres acquittements de l’histoire récente,

-          Alice Zeniter et Alison Bechdel, questionnant la fiction et leurs inspirations respectives d’autrices,

-          Stéphane Emond, Emmanuel Ruben et Gabriella Zalapi, dans « Origines », qui ont tenté en remontant le temps, de comprendre les histoires familiales, leurs silences leurs douleurs et parfois leurs exils,

-          Emmanuelle Richard et Alexandre Lacroix s’accordant à reconnaître « L’Ambiguïté des désirs »,

-          Adrien Bosc, Yves Lavandier et Julia Minkowski, dans « Combattantes », plaidant sur le courage et la liberté,

-          Valentine Cuny-Le Callet et Khaled Miloudi, dans « Lettres de prison », qui ont présenté chacun depuis sa place, l’enfer carcéral,

-          Fanta Dramé, Polina Panassenko et Beata Umubyeyi Mairesse, dans « Appartenances et renoncements », qui ont évoqué les questions de double identité, de double culture et de double pays.

Merci à tous ceux qui ont permis que cet évènement, qui favorise la place de la juridiction dans la cité, puisse se dérouler parfaitement.

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